A la vue des foules il en eut pitié, car ces gens étaient las et prostrés comme des brebis qui n’ont pas de berger. Alors il dit à ses disciples : »La moisson est abondante, mais les ouvriers peu nombreux. » (Mt 9,36-37)
> Jésus a pitié de cette foule qui est abattue et désemparée parce qu’elle ne sait pas vers qui se tourner pour donner un sens à la vie. Pourtant le bon berger est là, tout près. Jésus nous envoie, comme ses apôtres, vers les foules.
Soyons aussi des bergers proches des brebis abattues. entendons l’appel à devenir « guérisseurs» des plaies qui rongent parfois les familles, nos amis, et les nôtres aussi. Encourageons-les et guidons-les vers notre Père à tous.