Et elle mit au monde son fils premier-né ; elle l’emmaillota et le coucha dans une mangeoire, car il n’y avait pas de place pour eux dans la salle commune.(…)
« Gloire à Dieu au plus haut des cieux, et paix sur la terre aux hommes, qu’Il aime. » (Lc 2,7.14)
> Ce texte est une invitation à prendre soin de cette part de moi qui, comme ce bébé, n’est plus au paradis. Le voilà en proie au froid, aux attaques bactériologiques, à la faim, à la soif, à la solitude. Comme Marie, je l’emmaillote, j’accueille aujourd’hui cette part en moi qui se sent vulnérable. Cette démarche bienveillante envers moi-même sera peut-être le chemin vers la lumière glorieuse et la paix du Très-Haut. Oh, voilà que le bébé sourit !