« Tu es mon fils bien-aimé ; c’est en toi que j’ai pris plaisir » (Luc 3.22)
> Il y a des matins où pour chacun de nous aussi le ciel se déchire comme pour le baptême du Christ… Pouvons-nous alors entendre que Dieu prend plaisir à nous voir exister, nous réjouir et aussi lutter au quotidien? Car au beau milieu de ce récit de baptême, l’Evangile n’occulte pas l’emprisonnement de Jean le Baptiste…
Plaisir et peines de Dieu s’entremêlent comme dans ta vie peut-être ?
Aujourd’hui pourtant regardons avec discernement l’une de nos qualités et disons-nous que Dieu en éprouve lui aussi de la Joie!
Et que 2019 nous réserve une pleine escarcelle de ces moments de grâce !
Ouf ! Enfin le retour « du temps ordinaire »…
Chaque année se termine par ces navrantes célébrations païennes, souvent débridées, au cours desquelles se mélangent coutumes, croyances, religions et toutes les formes de consumérisme. Les dernières décennies ont contribué à imprégner toutes les religions de tous les pays de faits, pourtant sacrés, en les mêlant de mensonges et d’hypocrisie.
Autrefois, le solstice d’hiver était marqué par les coutumes païenne romaines. Le catholicisme, religion fondée par l’Empereur romain Constantin au IVème siècle, s’est dès cette époque « enrichi » de fêtes et de toutes sortes de célébrations occultes. C’est à cette époque que disparut officiellement dans tout l’empire le vrai culte enseigné par le Christ et les apôtres. Une hiérarchie poussa les fidèles les plus vulnérables à embrasser les coutumes païennes, en les travestissant en soi-disant célébrations chrétiennes. Les Saturnales en sont un exemple frappant : Ces festivités se caractérisaient par des orgies qui commençaient le 25 décembre,(Noël), fête des lumières, pour se terminer vers le 6 janvier, l’Épiphanie.
Bons temps ordinaires à tous. Maranatha