5e dimanche de Carême – A

Jésus lui dit [à Marthe] : « Moi, je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi, même s’il meurt, vivra ; et tout homme qui vit et qui croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela ? » (Jn 11, 25-26)

> En ces temps de carême, cette question nous est posée aussi à chacun de nous : crois-tu cela ? La résurrection, c’est littéralement in-croyable, pourtant Jésus nous invite au saut de la foi, de la confiance en lui et en Sa vie qui dépasse toute mort.

Alors, nous aussi, soyons porteur ou porteuse d’espérance ! Au milieu des ténèbres de la souffrance, du déchirement ou du deuil qui entourent nos proches, soyons lumière réconfortante d’espérance pour ceux-ci ! Cette semaine, il nous est proposé donc de faire un geste concret pour signifier cette espérance à quelqu’un autour de nous qui, comme la famille de Lazare, souffre. Un geste d’espérance, comme une lueur au cœur des ténèbres.

26e dimanche – C

« Au séjour des morts, il (le riche) était en proie à la torture; il leva les yeux et vit de loin Abraham avec Lazare tout près de lui. » Lc 16, 23

> C’est l’histoire du riche qui mène un train de vie somptueux et du pauvre Lazare couché devant le portail. Durant toute sa vie luxueuse, le riche ne voit pas ou ne veut pas voir le pauvre Lazare devant sa porte. C’est seulement à sa mort qu’il monte le regard vers lui et c’est trop tard…

Nous sommes invités cette semaine à avoir une attention spéciale pour ceux qui nous entourent et qui auraient besoin d’un peu d’attention, d’un peu d’écoute. Spécialement ceux qu’on croise souvent et qu’à force d’habitude, on aurait peut-être tendance à moins faire attention à comment ils vont.